
Julos Beaucarne. Le lac
"Ô Lac, l'année à peine a fini sa carrière et
près des flots chéris qu'elle devait revoir,
regarde je viens seul m'asseoir".
C'est terrible je ne peux pas continuer ce poème
tellement ça m'prend aux tripes,
celui qui a écrit ça il s'appelait Alfred,
c'était un poète parce que vous savez les poètes,
ils s'adressent aux choses comme si c'étaient des gens :
Ô Lac qu'il dit, allez-vous, commun des mortels,
parler à un lac, on va vous prendre pour un "louf",
pour un "maf", pour un "maboul",
un...
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